Étiquette : monts
Le ciel voilé se teinte d’une lueur de soleil couchant, les brumes se lèvent sur un mont enneigé, paysage insaisissable, immatériel, vu des fenêtres de mon atelier.
Vue de mon atelier.
Quelques détails:
Je continue avec un autre paysage d’automne, toujours vu de l’atelier.
Quelques fois dans l’année, au petit matin nous avons la surprise de découvrir des montgolfières devant nos fenêtres. C’est à chaque fois un émerveillement de les contempler dans la lumière du matin à travers les brumes.
Le Puy-en-Velay, la ville près de laquelle j’habite, est un lieu de rassemblement international de montgolfières.
J’ai peint de nombreuses natures mortes ces deux derniers mois. Je n’en ai pas moins regardé par la fenêtre de l’atelier. Je suis inlassablement attirée par les brumes qui s’élèvent au-dessus de la Loire.
Vue de mon atelier.
J’aime particulièrement la lumière du crépuscule, les couleurs qui s’estompent. C’est un exercice de peinture passionnant, tout en subtilité.
« fragments » suite.
Cliquer ici pour voir la série.
Je poursuis ma série de « fragments » de paysage, petits formats carrés dans lesquels je tente de saisir l’infinie variété d’atmosphères qui s’offrent à ma vue depuis mon atelier.
Cliquer ici pour voir la série.
J’aime ces matins où les brumes voilent et dévoilent les monts et réinventent le paysage.
En cette chaude après-midi d’été brumes et monts se confondent dans le lointain. Un nuage insolite et majestueux domine la scène, il s’est imposé comme sujet.
Ici, j’ai essayé de saisir cet instant fugitif où le soleil se couche et la lune se lève, presque en même temps.
Avoir mon atelier face à la montagne me permet de capturer ces moments rares.
Prairies des hauts plateaux du Massif du Mézenc, Auvergne.
Le soleil d’été légèrement voilé par les nuages donne à ce paysage cette lumière particulière.
J’aime la lumière du matin en contre-jour sur les monts. Ce jour là particulièrement, le ciel gris faisait ressortir le bleu des monts et le vert des prés. Je me suis empressée de prendre les pinceaux. Pari risqué car le temps était très incertain. Quelques éclaircies sur ce ciel gris se sont succédé et m’ont permis de saisir cette lumière contrastée. A peine avais-je fini de peindre que la pluie s’est mise à tomber.
Dans les premiers jours du printemps, séance de peinture dans les monts qui font face à mon atelier, au pied du Suc de Jalore (900m d’altitude).